En effet, ce qui est dit dans le message ci dessous n'est que la triste vérité sur le système éducatif de Thifrikest u Gafa - Afrique du Nord - A vouloir trop faire par idéologie politique et à se
chercher une identité venue d'ailleurs, nos indus gouvernants ont perdu tout repère . Aucune idéologie politique, culturelle, linguistique, économique ou sociologique ne peut aboutir sans le concours des gouvernés .
En voulant imiter la perdrix, la poule a perdu même sa marche
La négation de tamazight a commencé en algérie avec l'occupation Turc où la parler été illicite, puis vint la colonisation française qui leur emboîta le pas, mais de façon plus subtile. C'est à dire, elle ne l'interdit pas, mais elle la compressa au bénéfice d'une arabisation et d'un obscurantisme marabouti que et religieux.( ne pas confondre avec l'islam vrai ).
A l'indépendance, le pouvoir qui s'est installé de force s'attela beaucoup plus à l'arabisation, et au populisme qu'au développement socio économique. Pour ce faire, il fit venir d'egypte des cordon niers, des maçons, des menuisiers etc....pour arabiser à leur convenance et enseigner l'arabe à tout les paliers de l'enseignement sans aucune pédagogie, ouverture sur l'universalité et une perspective de développement
Le colonel Boumédienne continua dans cette voie de façon plus radicale en fermant les chères des langues Amazigh et de l'arabe populaire en 1973 enseignées dans l' unique université existante à l'époque, tout en interdisant en parallèle et sournoisement les dialectes amazighs et en menant une lutte acharnée contre la langue amazigh.
Tamazight a depuis la nuit des temps subi les coups de boutoirs de l'ennemi extérieur que ce soit Ro me, Damas, Istambul ou Paris. Comparativement à l'Iran, à l'Indonésie, à l'Inde, à la Tchétchénie à l'Albanie, à l'Afganistant, au Pakistant et aux pays du Caucasse, pour ne citer que ceux là, qui conser vent leurs identités et leurs langues tout en étant musulmans, notre région se trouve malgré elle confron tée à une imposition identitaire et linguistique venues d'ailleurs sous prétexte de sa religion majoritaire véhiculée par la langue dite arabe. Que comprendre de cette imposition que rien ne justifie,surtout pas la géographie et l'histoire , sauf s'il y a une raison que je préfère taire .
Après une arabisation effrénée qui a démontré ses limites et face à la détermination des militants, qui luttent, pour le recouvrement de tamazigh sous toutes ses formes, malgré la répression barbare , les arrestations et les assassinas ( 1980/ 81 et 2001 ) ainsi qu'aux remarques internationaux, le pouvoir illégitime en place avec ses relais arabos musulmans et les amazighs de service, qui ont vendu leur âme au diable, changent de moyens répressifs contre tamazight. Ces derniers se caractérisent par, une répression souple, machiavélique et mieux pensée, un endoctrinement mensonger de la religion, un en seignement religieux dévoyé de la population profondément religieuse ( ça frôle l'islamisme ) croyante et très réceptif à la médiatisation de la langue arabe qu'elle pense,par ignorance, être divine puisque c'est Dieu qui l'a choisi, pour les écrits du coran et le jugement dernier de toute l'humanité ( ? ). Par conséquent tout autre choix linguistique ou appartenance est péché ( Qofr ).
Les pouvoirs publics Marocains et Algériens dans leurs luttes, contre tamazight, ont été jusqu'à faire des concessions de forme et folklorique tout en maintenant dans le fonds le reniement de tamazight.
Avec une telle tromperie, une interprétation politique des écrits du coran, une manipulation religieuse pour demeurer au pouvoir et une sacralisation irréfléchie des écritures coraniques, les systèmes politi ques en place ne peuvent qu'hypothéquer le devenir de Thifrikest u Gafa - Afrique du Nord - déjà soumis aux affres du terrorisme, de la mâle vie généralisée et d'une absence de bonne gouvernance..
Les chrétiens et les bouddhistes se sont ils cherché une identité, une langue et une culture autre que celle qu'ils ont tété aux seins de leurs mères ?
En tout état de cause, ce n'est ni à Rome, ni à Damas et encore moins à Paris qu'ils puiseront honteu sement leur identité car celle ci se trouve depuis des millénaires en eux, malgré eux et le reniement de fond.
Je termine mon point de vue par ce vieille adage : 40 ans vieillira son tronc, à la fin il retournera à ses racines
PS: u se lit ou en tamazight
chercher une identité venue d'ailleurs, nos indus gouvernants ont perdu tout repère . Aucune idéologie politique, culturelle, linguistique, économique ou sociologique ne peut aboutir sans le concours des gouvernés .
En voulant imiter la perdrix, la poule a perdu même sa marche
La négation de tamazight a commencé en algérie avec l'occupation Turc où la parler été illicite, puis vint la colonisation française qui leur emboîta le pas, mais de façon plus subtile. C'est à dire, elle ne l'interdit pas, mais elle la compressa au bénéfice d'une arabisation et d'un obscurantisme marabouti que et religieux.( ne pas confondre avec l'islam vrai ).
A l'indépendance, le pouvoir qui s'est installé de force s'attela beaucoup plus à l'arabisation, et au populisme qu'au développement socio économique. Pour ce faire, il fit venir d'egypte des cordon niers, des maçons, des menuisiers etc....pour arabiser à leur convenance et enseigner l'arabe à tout les paliers de l'enseignement sans aucune pédagogie, ouverture sur l'universalité et une perspective de développement
Le colonel Boumédienne continua dans cette voie de façon plus radicale en fermant les chères des langues Amazigh et de l'arabe populaire en 1973 enseignées dans l' unique université existante à l'époque, tout en interdisant en parallèle et sournoisement les dialectes amazighs et en menant une lutte acharnée contre la langue amazigh.
Tamazight a depuis la nuit des temps subi les coups de boutoirs de l'ennemi extérieur que ce soit Ro me, Damas, Istambul ou Paris. Comparativement à l'Iran, à l'Indonésie, à l'Inde, à la Tchétchénie à l'Albanie, à l'Afganistant, au Pakistant et aux pays du Caucasse, pour ne citer que ceux là, qui conser vent leurs identités et leurs langues tout en étant musulmans, notre région se trouve malgré elle confron tée à une imposition identitaire et linguistique venues d'ailleurs sous prétexte de sa religion majoritaire véhiculée par la langue dite arabe. Que comprendre de cette imposition que rien ne justifie,surtout pas la géographie et l'histoire , sauf s'il y a une raison que je préfère taire .
Après une arabisation effrénée qui a démontré ses limites et face à la détermination des militants, qui luttent, pour le recouvrement de tamazigh sous toutes ses formes, malgré la répression barbare , les arrestations et les assassinas ( 1980/ 81 et 2001 ) ainsi qu'aux remarques internationaux, le pouvoir illégitime en place avec ses relais arabos musulmans et les amazighs de service, qui ont vendu leur âme au diable, changent de moyens répressifs contre tamazight. Ces derniers se caractérisent par, une répression souple, machiavélique et mieux pensée, un endoctrinement mensonger de la religion, un en seignement religieux dévoyé de la population profondément religieuse ( ça frôle l'islamisme ) croyante et très réceptif à la médiatisation de la langue arabe qu'elle pense,par ignorance, être divine puisque c'est Dieu qui l'a choisi, pour les écrits du coran et le jugement dernier de toute l'humanité ( ? ). Par conséquent tout autre choix linguistique ou appartenance est péché ( Qofr ).
Les pouvoirs publics Marocains et Algériens dans leurs luttes, contre tamazight, ont été jusqu'à faire des concessions de forme et folklorique tout en maintenant dans le fonds le reniement de tamazight.
Avec une telle tromperie, une interprétation politique des écrits du coran, une manipulation religieuse pour demeurer au pouvoir et une sacralisation irréfléchie des écritures coraniques, les systèmes politi ques en place ne peuvent qu'hypothéquer le devenir de Thifrikest u Gafa - Afrique du Nord - déjà soumis aux affres du terrorisme, de la mâle vie généralisée et d'une absence de bonne gouvernance..
Les chrétiens et les bouddhistes se sont ils cherché une identité, une langue et une culture autre que celle qu'ils ont tété aux seins de leurs mères ?
En tout état de cause, ce n'est ni à Rome, ni à Damas et encore moins à Paris qu'ils puiseront honteu sement leur identité car celle ci se trouve depuis des millénaires en eux, malgré eux et le reniement de fond.
Je termine mon point de vue par ce vieille adage : 40 ans vieillira son tronc, à la fin il retournera à ses racines
PS: u se lit ou en tamazight
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